Qui contrôle les mèmes contrôle l’univers. Les mèmes, tirés de la culture populaire s’adresse à des intités, derrière la blague se cache toujours une réalité.
La citation « qui contrôle les mèmes contrôle l’univers » viens d’Elon Musk. Mais d’ou viens les mèmes ?
Fin des années 1990 : début d’Internet, les jeux vidéo en ligne, les premières plateformes de chat en ligne (msn, forum de discussion, chaînes de courriels…) la les ingrédients sont réunis pour que les premiers mèmes naissent. Le tout est partagé par une communauté numérique connecté, le support est visuel.
Le principe est simple, trouver une image marquante, drôle et parlante et la partager à un plus grand nombre. Sa forme primaire est l’image, mais se décline sous forme de vidéo ou de gif. Le même connecte les gens entre eux.
Les premier mèmes était le « Dancing baby » ou « chacha baby ». C’était une animation 3D d’un bébé en couche qui s’animait sur les messenger et autres forums.
De nos jours les mèmes sont devenu un langage avec des codes graphiques et une culture qui lui est propre.
Avec l’augmentation du piratage massif de photoshop à la fin des années 90 cette culture mème se propage à grande échelle sur internet. Les personnes n’ont pas forcément des compétences graphiques, chacun travaille et crée son mème, il devient reproductible et modifiable par tous.
Aujourd’hui il existe des générateurs de mèmes, à partir des images les plus iconiques. L’essor des smartphones connectés, la 4G et les réseaux sociaux tels que instagram, facebook augmente aussi le partage des mèmes. Le style graphique n’évolue pas cependant c’en deviens une signature.
Très loin des standards publicitaires, les mèmes développent un style détaché d’esthétisme, elle développe même un côté pop.
Les mèmes se construisent sur des images génériques, beaucoup de mèmes sont de simples photos suivie d’un texte. Il existe même un outil numérique pour « frire » ses mèmes et réduire leur qualité, un bon mème n’est pas un beau mème, il doit être populaire.