Pourquoi me faire tatouer m’a fait du bien

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A travers cette planche, l’illustratrice Sarah ANDERSEN décrit les différentes étapes émotionnelles et symboliques liées à l’acte de se faire tatouer.

En lien avec une anonyme interviewé lors du mondial du tatouage 2017, elle souligne l’importance de la réflexion préalable – choisir un motif significatif, une partie du corps appropriée, et surtout trouver un.e tatoueur.se avec qui elle aura un bon feeling et qui saura l’accompagner dans ce rituel symbolique.

Pour son premier tatouage, c’était un acte fort de reprise de possession de son corps, de marquage d’un moment clé de sa vie. Malgré la douleur, elle a ressenti une sensation exaltante et euphorique en voyant le motif s’inscrire sous sa peau, comme une partie d’elle-même qu’on ne pourrait lui enlever.

Elle explique qu’une fois qu’on a commencé, il est difficile de s’arrêter, comparant cela à une forme d’accoutumance bénéfique grâce à la libération d’endorphines et au bien-être intérieur procuré.Pour ses tatouages suivants, son état d’esprit a évolué – parfois c’était un coup de cœur pour un projet ou une rencontre avec un.e artiste, d’autres fois un passage à l’acte plus spontané une fois l’envie ancrée